Matthias Collet, guitare
Julien Barbances, voix, percussions, violon
Emeline Rivière, danse
nous invitent à un voyage transatlantique
entre les musiques de l’Ancien et du Nouveau monde.
Mardi 25 janvier 2011 à 20h.30
Au caveau, 42 grand'rue à Lorry les Metz
Nous aurons,comme d’habitude, le plaisir de vous accueillir avec quelques douceurs…
Participation souhaitée : 10 euros par personne.
Réservation indispensable.
03 87 32 68 63 – 06 61 12 90 89 – lecaveau.com@sfr.fr
Musicien nomade, le guitariste Matthias Collet tient à partager les traditions croisées
d’Europe et d’Amérique latine, musiques vivantes nées de part et d’autre de l’océan
Atlantique, et qui prennent leur source dans le chant et la danse.
Son répertoire puise dans la richesse des mélodies traditionnelles, mué par ce va-et-vient constant entre les paysages de l’Ancien et du Nouveau Monde.
Il est accompagné par Julien Barbances, chant, percussions, violon et par la danseuse Emeline Rivière.
Matthias Collet fait retrouver à son public le souffle des musiques traditionnelles. Rurales ou urbaines, elles parlent des terroirs et des populations.
Influencée par les grandes traditions (jazz, flamenco, tango, classique), sa guitare exprime une palette d’atmosphères et de couleurs sonores –par un jeu tour à tour rugueux ou velouté, tendre ou viril.
Du jazz, découlent l’improvisation et l’harmonisation ; du flamenco , les techniques rythmiques et l’intensité du discours ; de la musique classique, un modelé du phrasé.
Sa musique explore la profondeur des genres, pour laisser résonner toute la densité des langages traditionnels.
Aussi se fait-il passeur pour nous guider d’une rive à l’autre.
Héritier de l’Ancien Monde ,
il arpente la France et l’Europe :
bourrées à deux temps et à trois temps,
Gwerz ou Hanter-Dro de Bretagne,
escale en Suède pour une Langdans
ou en Espagne au rythme des Bulerias…
Dans le sillage du Nouveau Monde,
il interprète un joropo du Venezuela,
un tango argentin, une mazurka du Paraguay
ou encore une berceuse cubaine.
Multi-instrumentiste autodidacte Julien Barbances s’efforce de remettre au goût du jour les musiques traditionnelles. Membre de La Machine et Carré de Deux, directeur artistique de « La Société Fraternelle des Cornemuses », il s’inspire des recherches qu’il mène sur des documents de collecte. Avec sa voix reggae, il s’approprie façon « chanson française » les chants traditionnels Centre France.